Milan, le 10 octobre (LaPresse) – "Il y a une dame là-haut qui porte le drapeau pro-Palestine, elle devrait porter le drapeau des États-Unis d’Amérique, qui ont apporté la paix. Nous nous sommes réveillés ce matin avec la possibilité de paix, et c’est extraordinaire. Le fait de pouvoir parler d’un cessez-le-feu, du retour des otages, du retrait des armées et de la reconstruction de Gaza ne doit rien aux voyageurs en Méditerranée, à Greta Thunberg, à Saviano et à Albanese. Cela doit à la force du président Trump, au courage du Pape Léon, au gouvernement italien équilibré qui ne s’est pas aligné sur les moutons de Macron, qui a reconnu l’État de Palestine, et cela doit aussi à ce que certains appellent un criminel, mais qui est Bibi Netanyahu, qui a tenu bon dans un moment difficile." C’est ce qu’a déclaré le vice-président, ministre des Infrastructures et des Transports, et leader de la Ligue, Matteo Salvini, s’exprimant à Florence lors de l’événement de clôture de la campagne électorale avec d’autres leaders du centre-droit en soutien à Alessandro Tomasi, candidat de la coalition aux élections régionales en Toscane dimanche et lundi.
© Copyright LaPresse