Rome, 8 novembre (LaPresse) – Le mandat d'arrêt international contre Netanyahu est « un choix de la Turquie d'Erdogan. Je n'ai pas à commenter les actions de la Turquie. Elle a fait un choix, ni juste, ni faux. La Cour pénale l'a également fait, nous verrons ensuite comment cela pourra être mis en œuvre ». C'est ce qu'a déclaré le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani, en marge de la 7e conférence nationale sur les dépendances, à Rome, en réponse aux questions des journalistes sur le mandat d'arrêt émis, entre autres, contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu par la Turquie d'Erdogan. « En ce moment, il faut travailler pour essayer de parvenir à la paix et nous nous y employons », a ajouté M. Tajani, qui souligne le travail de l'Italie « pour parvenir à une solution qui permette la reconstruction de Gaza ».

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