Il s’agit d’une perte sèche pour le Trésor public, a déploré M. Nana, invitant les autorités à accentuer la répression contre ce qu’il qualifiait de « médicaments de la mort » avec leur lot de conséquences sur la santé humaine.
Si le contrôle aux frontières s’avère idéal pour combattre les médicaments de la rue, l’efficacité de cette stratégie reste limitée en raison de la porosité des frontières en Afrique, d’une manière générale, a expliqué le responsable.