Accusée d’espionnage, l’Arabie saoudite a, à son tour, dénoncé des accusations « infondées ».
Le démenti fait suite à la publication d’une enquête dun consortium de médias affirmant que plusieurs pays utilisent le logiciel israélien Pegasus pour surveiller notamment des journalistes et militants des droits humains.
« Un responsable a démenti les allégations parues dans la presse selon lesquelles une entité du royaume aurait utilisé un logiciel pour surveiller les communications », a indiqué l’agence de presse officielle SPA dans la nuit de mercredi à jeudi, sans préciser le nom du logiciel en question.
Et d’ajouter que « ces allégations sont infondées », d’autant que le pays « n’approuve pas ce genre de pratiques ».