La société israélienne NSO Group rompt enfin le silence sur l’affaire Pegasus.
Dans un communiqué publié mercredi, l’entreprise dément être engagée dans une surveillance de masse à travers son logiciel Pegasus, qualifiant les allégations portées contre elle d' »insinuations et de calomnies ». Ce démenti fait suite à la fuite d’une liste de quelques 50.000 numéros de téléphone qui auraient été choisis par des clients de NSO pour une éventuelle surveillance.
NSO assure qu’il ne s’agit pas d’une liste de cibles actuelles ou potentielles de Pegasus, indiquant que toute affirmation selon laquelle un nom sur la liste est nécessairement lié à Pegasus est erronée.
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