Rome, 3 déc. (LaPresse) – Fiorello et Fabrizio Biggio reviennent avec un nouvel épisode irrévérencieux de La Pennicanza, diffusé du lundi au vendredi à 13h45 sur Rai Radio2 et en visuel sur la chaîne 202 de la télévision numérique terrestre. Quarante-cinq minutes d’improvisation, de satire politique et de gags fulgurants. Fiorello ouvre avec la politique internationale : « Quelque chose bouge au Parlement européen. Depuis le Qatargate, rien ne se passait, puis nous, les Italiens, arrivons : supposée ‘fraude sur les fonds européens.’ C’est de 2021, quand personne ne savait rien… Mogherini, Sannino, Zingaretti… on parle de 990 000 euros. Mais je veux dire, sommes-nous au supermarché ? Arrondissez : un million ! Ils ont été interrogés mais pas arrêtés, parce qu’‘il n’y a pas de risque de fuite’… Moi, pour sécurité, j’irais en Russie : un endroit très calme ! »

Puis l’épisode passe au cœur du show, Atreju : « Ça devient un vrai festival. Mais quel artiste es-tu si tu vas à un événement de droite ? Les artistes doivent aller à ceux de gauche. Carlo Conti, Mara Venier, Abu Mazen, Gualtieri, Fratoianni y vont, ils m’ont même invité, mais je ne peux pas : après, ils m’instrumentalisent. Moi avec Meloni ? Ensuite on dirait que je veux travailler. » Il continue : « Il y aura aussi le ‘Après Atreju’, présenté par Nicola Savino. Et les Jalisse ? Rien, ils n’y ont pas été non plus. »

Ensuite, le showman reçoit un message mystérieux sur son portable : « Ils m’écrivent ‘Je t’attends à Atreju, Carlo Conti, Venier… seront aussi là.’ Je pensais que c’était faux… et pourtant non, c’est vrai. Alors… nous serons à Atreju très bientôt », conclut-il en plaisantant.

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