Turin, 27 janvier (LaPresse) – Une lettre du président-directeur général de la Formule 1, Stefano Domenicali, s'interroge sur l'avenir du cirque en Italie en cas de changement du président de l'Aci, Angelo Sticchi Damiani, élu en octobre dernier pour son quatrième mandat. C'est le scénario, selon LaPresse, qui se dessine quelques mois après le renouvellement officiel du GP de Monza jusqu'en 2031 et qui concerne également le circuit d'Imola et l'étape du championnat du monde des rallyes en Sardaigne. Tout découle du récent décret d'urgence, en attente d'approbation, qui prévoit l'introduction d'une limitation des mandats pour les organismes publics de type fédérations sportives, dont l'Automobile Club d'Italie. La limite maximale de trois mandats fixée, avec une valeur rétroactive de la mesure, mettrait hors d'état de nuire – malgré sa récente réélection – l'actuel numéro un de l'ACI, l'homme avec lequel Domenicali a négocié et conclu un accord au cours des derniers mois. Une relation consolidée au fil des ans qui a favorisé la prolongation de l'accord avec Monza, qui comprend également une série de travaux de modernisation de la piste. Du côté de la Formule 1, l'attention est maximale sur les développements de cette affaire, qui risque de faire disparaître l'Italie de la carte de la Formule 1.
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