Turin, 27 octobre (LaPresse) – « La faute n'incombe pas uniquement à Tudor, mais comme c'est souvent le cas, c'est l'entraîneur qui est le premier à payer ». C'est ce qu'a déclaré Evelina Christillin, dirigeante sportive italienne qui a occupé par le passé des postes importants à l'UEFA et à la FIFA, supportrice et grande connaisseuse du monde de la Juve, au micro de Rai Radio1 à propos de la décision du club bianconero de limoger l'entraîneur Igor Tudor après la défaite d'hier soir contre la Lazio. « Je rappellerais simplement que depuis Allegri, la Juventus a changé sept entraîneurs, ce qui montre une tendance assez marquée, a-t-elle ajouté. Je dirais qu'il y a un manque au niveau du club, une certaine confusion, et ce n'est pas nouveau. Des achats à hauteur de 300 millions d'euros (plus que le Real Madrid, ndlr) ont été effectués, sans grand résultat. Il faudrait partager les responsabilités de haut en bas, et ne pas tout mettre sur le dos du pauvre Tudor ».
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