Le groupe djihadiste a revendiqué cette attaque.
Dans un communiqué sur l’application de messagerie Telegram, l’EI a affirmé que l’attaque visait à « venger les prisonniers musulmans », notamment les femmes djihadistes se trouvant dans le camp d’Al-Hol, sous administration kurde, dans le nord de la Syrie.
Deux djihadistes ont également été tués lors de l’attaque menée dans l’ancienne « capitale » de l’EI, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).
« L’objectif des djihadistes était la prison de la sécurité militaire, dans laquelle se trouvent quelque 900 djihadistes, dont environ 200 de haut niveau », a déclaré Rami Abdel Rahman, le directeur de l’OSDH, un groupe basé au Royaume-Uni disposant d’un large réseau de sources en Syrie.
L’administration autonome kurde a confirmé que six membres des forces de sécurité kurdes avaient été tués.