Le ministère public a déclaré dans un communiqué que les exécutions avaient été menées par « pendaison » après avoir été approuvées par l’émir du pays. Il s’agit de deux femmes (une Koweïtienne et une Ethiopienne) ainsi que cinq hommes (trois Koweïtiens, un Syrien et un Pakistanais), selon cette même source.
Le Koweït est partie à huit traités internationaux relatifs aux droits humains. C’est la deuxième fois qu’un groupe de personnes est exécuté dans le pays depuis 2007, la première ayant été l’exécution de cinq ressortissants étrangers en 2013.